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Des études préliminaires et des essais sur l'homme examinent les effets anticancéreux de la curcumine
Chaque année, en octobre, nous sommes encouragés à réfléchir au cancer du sein, aux nombreuses vies qu'il touche et aux moyens de promouvoir la prévention. En tant que diététicienne, j'ai tendance à me concentrer sur l'impact de l'alimentation et du mode de vie sur le risque de cancer. Ces dernières années, le rôle de la nutrition dans les maladies chroniques, y compris le cancer, a été davantage reconnu par la communauté médicale. Bien que la recherche sur l'alimentation liée à la prévention du cancer n'en soit qu'à ses débuts, les propriétés médicinales du curcuma ont suscité un intérêt considérable.
Le curcuma est une plante de la famille du gingembre. Il est très utilisé dans la cuisine asiatique et est particulièrement présent dans le régime alimentaire indien. Le curcuma contient plusieurs composés connus pour leurs effets bénéfiques sur la santé, dont le plus étudié est la curcumine. Des études préliminaires et des essais sur l'homme ont été menés pour examiner les effets anticancéreux de la curcumine, et les résultats ont été positifs. En laboratoire, la curcumine a démontré des qualités de prévention du cancer ainsi que la capacité de ralentir la réplication des cellules tumorales, sans impact négatif sur les cellules saines environnantes. Même à des doses très élevées, la curcumine a été bien tolérée, sans effets secondaires toxiques. En outre, elle peut réduire les symptômes inconfortables du cancer et a montré des réductions significatives de la progression des tumeurs, bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires dans ce domaine avant de pouvoir tirer des conclusions.
Le mélange pour latte au curcuma de Ginger People contient une variété de curcuma appelée curcuma de Java, qui est une bonne source de curcumine ainsi qu'un composé appelé xanthorrhizol. Le xanthorrhizol a fait l'objet de moins de recherches que la curcumine, mais il a démontré sa capacité à agir indépendamment ou en synergie avec la curcumine pour aider à résoudre plusieurs problèmes de santé, notamment l'inflammation chronique et le cancer.
L'autre type de curcuma utilisé par The Ginger People est le curcuma sauvage de Fidji (Curcuma Aromatica), que l'on retrouve dans l'un de leurs nouveaux Ginger Rescue® Ginger Shots. Le curcuma sauvage des Fidji contient moins de curcumine que le curcuma de Java, mais il possède ses propres propriétés, notamment des effets anti-inflammatoires. L'inflammation est un élément essentiel de la progression du cancer, car elle favorise la croissance, la survie et la propagation des cellules cancéreuses.
Les produits Ginger People facilitent l'intégration du curcuma dans le régime alimentaire et encouragent l'absorption de ses composés actifs en incluant du poivre noir dans leurs ingrédients. Je bois le mélange pour latte au curcuma selon les instructions du paquet, mais je l'utilise aussi comme assaisonnement simple pour les pommes au four, les patates douces rôties et les courges d'hiver. La boisson Ginger Rescue® Wild Turmeric G inger Shot est parfaite le matin, telle quelle ou ajoutée à un smoothie. Dans l'après-midi, je le mélange à de l'eau pétillante.
On craint qu'à des doses très élevées et concentrées, la curcumine n'interfère avec certains agents chimiothérapeutiques, dont certains sont utilisés dans le traitement du cancer du sein. Ainsi, bien que le curcuma semble avoir des propriétés anticancéreuses, sous forme de supplément, il peut ne pas être sans danger pour tous les survivants du cancer qui sont en phase de traitement actif. Nous recommandons toujours de discuter des changements alimentaires avec un médecin, en particulier en cas de problème de santé.
Au gingembre et au curcuma, nous vous souhaitons bonne chance.
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POUR EN SAVOIR PLUS SUR LA CURCUMINE : Il existe plus de 12 000 études scientifiques et revues par des pairs sur la curcumine. Consultez-les ici : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/?term=curcumin/
Alexandra Rothwell Kelly est une diététicienne diplômée, titulaire d'une maîtrise en santé publique, qui réside actuellement à San Francisco. Elle a obtenu son diplôme de premier cycle à l'université de New York et a terminé ses études supérieures à Mount Sinai. Alexandra a plusieurs années d'expérience en nutrition oncologique au Tisch Cancer Institute de New York et a effectué des recherches cliniques en médecine intégrative et en technologie de la santé. Elle donne des conseils personnalisés en matière de nutrition et de mode de vie, en mettant l'accent sur le bien-être général, la prévention des maladies chroniques et la survie au cancer.